Le cœur historique de l’île. Ce quartier se trouve aux portes de Manama, la capitale, avec des ruelles traditionnelles avec maisons anciennes restaurées ; façades blanches et de superbes portes en bois, souvent sculptées, pour entrer dans les habitations.

Classé à l’Unesco depuis 2005. Pierres blondes. Le lieu est bien préservé. Toute l’histoire de l’île est là, des civilisations anciennes à la présence portugaise. Les fouilles archéologiques se poursuivent sous la responsabilité de Pierre Lombard, un Français. Le contraste entre ce lieu pétri d’histoire et, en arrière-plan, les buildings modernes vaut le détour

C’est la Maison du Coran, abritée dans un immeuble spectaculaire. On y trouve une collection rare de manuscrits coraniques, de toutes les tailles, sur de multiples supports. Dans des salles, bien alignés, des milliers de livres, en arabe, en anglais et même en français. Tous sont consacrés à l’islam. On y trouve aussi une mosquée et une école religieuse.

Édifice moderne de 30 000 m2 retraçant 5 000 ans d’histoire. La civilisation Dilmun y est mise à l’honneur. Objets anciens, reconstitutions de scènes d’époque. Ce lieu est le symbole de ce que Bahreïn veut mettre en avant : son histoire riche.

Dans la capitale, impressionnante à l’extérieur comme à l’intérieur. Elle peut accueillir, sur d’épais tapis rouges, jusqu’à 7 000 fidèles. Au plafond, dans les couloirs et les cours intérieures, des centaines de lustres et d’abat-jour fabriqués en France sont visibles.

Nom d’un quartier de la capitale, Manama, où les artistes s’en donnent à cœur joie. C’est le quartier créatif de l’île. À chaque coin de rue, sur chaque façade, une fresque, une œuvre ornant une porte, des sculptures.

Dans le sud de l’île, en plein désert. Depuis 2004, il accueille, en avril, un Grand Prix de Formule 1. Le circuit vit toute l’année, on peut y essayer des voitures et y faire du karting.

Sur le circuit de formule 1 de Bahreïn, le visiteur peut faire des courses de karting. Photo C. C.