Son nom est synonyme d’un des plus grands traumatismes de l’histoire moderne. Le 6 août 1945, une bombe atomique est lâchée par l’aviation américaine sur Hiroshima et tue 140 000 personnes. Au prix d’immenses efforts, la ville s’est reconstruite et est aujourd’hui une véritable militante de […]
C’est une des images connues du Japon. Le torii du sanctuaire d’Itsukushima, situé dans l’eau, est l’une des trois vues les plus célèbres du pays. Ce sanctuaire, construit sur la plage en 593, est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco et est jumelé avec le Mont-Saint-Michel. […]
Le Quinze de France va y jouer deux matchs à l’automne, lors de la Coupe du Monde de rugby. C’est aussi une destination hors des sites touristiques, à la richesse immense – Antoine Tinel S ituée dans le sud-ouest de l’archipel du Japon, l’île de Kyushu va […]
Une bonne heure de train sépare la bruyante métropole d’Osaka des contreforts boisés du mont Koya. Un trajet agréable où l’on voit défiler les immeubles de la banlieue d’Osaka, qui s’effacent peu à peu au profit d’une campagne verdoyante, avant d’apercevoir des forêts denses posées sur […]
La grande métropole mérite le détour pour son animation et les incroyables sites alentour, où l’on peut facilement se rendre Par Bruno Béziat Osaka ne vient pas naturellement à l’esprit du touriste qui rêve de Japon. Elle n’est pas aussi prisée que l’historique Kyoto, pas aussi […]
La région est à la fois le poumon vert et la vitrine écologique de la Chine, probablement une des plus belles provinces du pays.
Tout le monde connaît le quartier de Shibuya et son fameux « crossing ». Ce passage piétons où se croisent des milliers de personnes en quelques secondes est un des symboles de la capitale japonaise. Agoraphobes s’abstenir, sans pour autant éviter de venir dans ce quartier. À quelques dizaines de mètres seulement de cette ruche humaine, se trouve Nonbei Yokocho. Il s’agit d’une allée remplie de tout petits bars aux cartes et ambiances variées, le plus grand ne peut accueillir que cinq ou six personnes, et l’endroit est encore préservé des touristes. Ceux qui ont faim pourront y grignoter quelques bouchées.
Toujours dans le quartier de Shibuya, ce temple shintoïste se trouve à environ cinq minutes de Shibuya station (sortie est). Le contraste entre ce lieu de spiritualité et la frénésie ultramoderne qui l’entoure est assez saisissant. D’autant que ce sanctuaire a été créé au début du XIe siècle et a été épargné par les bombes de la Seconde Guerre mondiale. Il est ainsi l’un des plus anciens édifices du Japon. Bien moins emblématique que d’autres lieux similaires, il n’en est pas moins intéressant.
3 Chome-5-12, Shibuya, Tokyo 150-0002
On le surnomme aussi, à juste titre, le Chanomama. Ce café du quartier de Daikanyama, dans le sud de Tokyo, entre Shibuya et Ebisu, est l’endroit rêvé pour les jeunes mères et leurs enfants. Son design très contemporain accorde une large place au blanc, notamment à travers des grandes banquettes où les parents peuvent s’allonger en compagnie de leur progéniture. Une pièce est réservée aux mères qui préfèrent allaiter en toute discrétion. On peut aussi y déjeuner. Au menu, des pâtes, des currys et les plats traditionnels à base de riz, ainsi que des pâtisseries.
The Za House Building, deuxième étage, 1-34-17 Ebisunishi, Shibuya-Ku, Tokyo
Attention, les yeux. Forcément placé dans le quartier où toutes les excentricités sont permises, le Monster café a été créé par Sebastian Masuda, ambassadeur de la culture kawaii au Japon. On y entre par la gueule d’un monstre pas si monstrueux que ça. C’est une fois dedans que l’on prend conscience de l’originalité du lieu. Le Monster café est divisé en quatre zones, où vous retrouverez des champignons multicolores, des licornes, etc. Changement de ton le soir, avec une ambiance destinée aux adultes avec DJ et shows burlesques. La carte est à la hauteur de l’endroit, surprenante et colorée.
Jinguma 4 Chome 31-10, Shibuya, Tokyo 150-0001.
Entrée payante à partir de 4 ans.
Situé aux confins d’Arakawa, de Taito et de Bunkyo, dans le nord-est de Tokyo, ce quartier a été épargné par la guerre, les incendies et les tremblements de terre. Y aller, c’est voyager dans le temps. Il faut se promener dans les ruelles au charme d’antan, où on trouvera des boutiques d’artisanat local, des cafés, ainsi que des sanctuaires et des temples méconnus du grand public. Parmi eux, le Tenno-ji, à Nippori, à deux pas de Yanaka. S’il est à voir essentiellement pendant la période des sakura (floraison des cerisiers), l’endroit possède un très joli jardin qui s’apprécie toute l’année. Pour aller au temple, prenez la Yamamoto line, arrêt Nippori.
En visite à Osaka, il semble impensable de ne pas séjourner à Kyoto au moins une journée, et si possible deux ou trois. D’autant que le trajet entre les deux métropoles se fait très facilement, en quinze minutes par le Shinkansen et en trente minutes à une heure avec d’autres trains locaux dont les arrêts sont plus ou moins nombreux. Impensable, puisque cette agglomération qui fut des siècles la capitale impériale est l’une des plus typiques du Japon. Elle a miraculeusement échappé aux bombardements de la Seconde Guerre mondiale et surtout à l’apocalypse nucléaire puisque, jusqu’aux derniers jours, les Américains avaient envisagé d’y larguer leur première bombe atomique, choisissant finalement Hiroshima. Kyoto présente aussi l’avantage de ne pas être l’une de ces mégapoles tentaculaires dont on ne voit pas le bout, puisque nettement moins peuplée qu’Osaka ou Tokyo, ce qui, au Japon, est très relatif (1,4 million d’habitants quand même). Les quartiers historiques se visitent donc facilement, pratiquement à pied. En particulier le secteur très touristique de Gion, un incontournable du Japon avec ses temples, ses adorables ruelles bordées de charmantes maisons en bois, de petites boutiques, dans lesquelles on croise très souvent des Japonaises en kimono.
Les possibilités de visites sont innombrables à Kyoto. Alors, puisqu’il faut choisir, un détour par Fushimi Inari, au sud, paraît indispensable. Érigé en 711, ce site est le plus grand sanctuaire shinto du Japon, dédié à la déesse du riz, Inari.
Une fois passé les temples, qui font office d’entrée, la découverte est en fait une promenade d’environ deux heures sur un chemin en pente couvert de portiques en bois, appelés « torii », peints en vermillon. Ces portiques, financés par de généreux donateurs, sont au nombre de 10 000, en rangs serrés, tout au long de la randonnée. Une promenade étonnante et d’une grande beauté.
Depuis Bordeaux via Paris, la compagnie Air France propose plusieurs fois des vols avec correspondance.
Depuis Bordeaux via Amsterdam, la compagnie KLM propose plusieurs fois des vols avec correspondance.
Depuis Bordeaux via Istanbul, la compagnie Turkish Airline propose plusieurs fois des vols avec correspondance.
Pour plus d’information, rendez-vous sur la fiche destination disponible sur www.bordeaux.aeroport.fr
Programmes susceptibles de modifications : consultez les horaires et périodes sur le site de la compagnie
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L’envie de partir peut vous saisir à tout moment, hiver comme été, sur un coup de tête. Au départ de Bordeaux, c’est un large éventail de destinations qui s’offrent à vous. Le temps d’un week-end d’une petite semaine.