Une seule lettre les différencie. Le choix entre Bologne et Cologne se joue ailleurs. Revue de villes en trois critères. Eve Scholtès Dolce vita à Bologne Ce qui est unique Ses secrets. Au nombre de sept dans la capitale d’Émilie-Romagne, une région du nord de l’Italie. [...]
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L’Aviva Stadium de Dublin peut accueillir plus de 50 000 spectateurs. Photo DR Tandis que les sélections affûtent leurs crampons et leurs schémas tactiques, trois villes transforment l’essai des incontournables du tournoi de rugby Rome, en mode « olympique » Le Stadio Olimpico di Roma : [...]
Bergame détenait cette année, avec trois autres villes lombardes, la mention « Région européenne de la gastronomie ». Le palmarès, justifié par une cuisine aussi riche que variée, donne l’occasion à la polenta bergamasque de tenir le haut de l’affiche. Par Ève Scholtès «Polenta e pica so ». […]
Dans la cité des papes, l’art de vivre commence avant tout par l’inattendu. Laissez-vous surprendre au rythme de la Dolce vita. Atteindre Rome est facile tous les chemins y mènent […]
Troisième destination touristique d’Europe derrière Paris et Londres, la capitale italienne allie les splendeurs de l’Antiquité aux richesses de la Renaissance dans une ambiance aussi foisonnante que romantique.
Le poumon économique de l’Italie est devenu une destination branchée susceptible de plaire aux amateurs de beaux-arts, de mode et de design.
Cette vaste place est le point de convergence de nombreuses artères. En son centre, la cathédrale de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge, la 4e plus grande église d’Europe, a nécessité 450 années de construction. Depuis les terrasses accessibles par escalier ou par ascenseur, on bénéficie d’un panorama exceptionnel sur la ville. Empruntez la Galleria Vittorio Emanuel II qui abrite boutiques de luxe, cafés et restaurants, pour rejoindre la Scala. La façade sobre de cette scène légendaire cache un intérieur somptueux, que l’on peut découvrir en visitant son musée.
D’avril à octobre ouverture des terrasses de 9h00 à 21h30 (7 €) –www.duomomilano.it – il est préférable de réserver son billet par Internet. Musée de la scala (7 €) 9h00-12h30 et13h30-17h30.
Au cœur d’un parc ombragé, s’élève le Castello Sforzesco, imposante et majestueuse forteresse de l’époque de la Renaissance et symbole de Milan. Initialement bastion défensif et palais ducal, le château abrite aujourd’hui des musées comme le Musée d’Art Antique, où est exposé le dernier chef d’œuvre de Michelange, la Pietà Rondanini.
Piazza Castello, du mardi au dimanche de 9h00 à 19h30 – € 5,00 – www.milanocastello.it
Le corso Magenta, surtout connu pour Santa Maria delle Grazie, qui accueille dans le réfectoire du couvent annexe à l’église l’Ultima Cena de Leonardo de Vinci, est également bordé de palais baroques (le palais litta), d’immeubles Liberty, d’églises monumentales (l’église san Maurizio) et de jolies boutiques.
Piazza di Santa Maria delle Grazie, du lundi au samedi de 10h30 à 12h00 et de 15h à 17h30, le dimanche de 15h à 17h30 – legraziemilano.it
Les Bergamasques l’appellent « campanone », un édifice construit entre les XIe et XIIe siècles. Ce symbole de « città alta », haut de 52 mètres, est un
beffroi équipé d’une cloche qui annonce les réunions du conseil municipal.
La ville a conservé une autre tradition, qui résonne tous les soirs à 22 heures :
l’annonce de l’ancien couvre-feu, c’est-à-dire la fermeture des portes, par le
battement de 180 coups.
Tour Civique (campanone), Piazza Vecchia.
Tél. +39 035 320 402.
www.visitbergamo.net/fr
Parce que la ville s’accroche à une colline, le point de vue est magnifique. Trois sites forment une trinité panoramique : la « torrione della rocca » (3 € ; entrée libre pour les mineurs), tournée vers les montagnes Orobie et Milan ; la tour civique et sa vue à 360° (5 €) ; le « colle di San Vigilio », qui domine la ville, accessible par le funiculaire (0,50 € ; payable uniquement aux tourniquets).
Office de tourisme.
Tél. +39 035 320 402.
www.visitbergamo.net/fr
C’est la traduction de son nom : stracciatella (« déchirait » en français). Le parfum est créé en 1961 par Enrico Pannattoni, inspiré par une soupe servie dans le restaurant-bar-glacier familial : La Marianna. La recette consiste à amalgamer une crème très malaxée, à base de chantilly, du lait, des jaunes d’œuf et du sucre. Le choc d’un chocolat chaud coulé sur ce mélange bien froid fait le reste et le goût inimitable de la glace stracciatella.
La Marianna, Largo Colle Aperto, 4.
Tél. +39 035 237 027.
www.lamarianna.it
Pour plus d’information, rendez-vous sur la fiche destination disponible sur www.bordeaux.aeroport.fr
Programmes susceptibles de modifications : consultez les horaires et périodes sur le site de la compagnie
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